Les écrans trans-sonore

Depuis trop longtemps, le home cinéma bâcle les règles élémentaires de cohérence et de réalisme qui sont indispensables à la réussite d’une ambiance cinéma.

A force de positionner l’enceinte centrale n’importe ou en haut ou en dessous de l’écran, on obtient un décalage incohérent entre le son produit et l’image de la scène projetée sur la toile.

Pour ressentir une émotion semblable en tout point à celle d’une vraie salle de cinéma professionnelle, il est primordial de s’affranchir de ce type de phénomène, et ainsi respecter l’ambiance créée par les équipes cinématographiques.

Les écrans trans-sonore permettent de régler le problème en disposant les canaux frontaux des enceintes  des meilleurs systèmes Home-Cinéma derrière une toile à très faible résistance acoustique.

 

Mais faut il réellement choisir un écran trans-sonore afin de cacher l’enceinte centrale idéalement derrière l’écran, comme au cinéma, ou doit on fuir commela peste ces petits trous qui mangent la lumière et le son ?

Ce n’est pas un sujet facile en vérité,et la réponse parfaite, selon moi, n’existe pas.


L’audiophile va pousser un hurlement,c’est sûr, quand on va lui parler de mettre une toile, mêmepercée de petits trous, devant la sacro-sainte pièce maîtresse de son installation. Il ne faut pas perdre de vue qu’un amateur dépense une énergie folle, et des sommes d’argents coquettes, pour améliorer la qualité de restitution de sa chaîne. Il ne va pas hésiter à investir dans toutes les petites solutions astucieuses qui peuvent lui permettre de regagnerces quelques Hertz perdus au champ de bataille de la lutte contre l’ennemi: mauvais câbles, vibrations, intermédiaire indésirables, acoustique, la liste est longue. Aussi lui parler de placer un bouchon devant l’enceinte, lui demander d’accepter de détériorer ce qui en sort, c’est comme lui demander d’échanger son install contre une mini chaîne ! Idem pour l’égaliseur. Ce dernier va apporter un étage électronique de plus entre la source et l’enceinte, qui, comme tout intermédiaire, va faire perdre de la qualité. Je rappelle, pour ceux qui l’ont oublié,qu’un ampli High End n’a en général aucun réglagede tonalité, et s’il en a, ceux ci sont débrayables, et les circuits qui l’accompagnent aussi. L’audiophile recherche le droit fil. Alors ne lui parlez pas d’égaliseur hein !!!!!

Pour poser le problème de l’écran trans-sonore dans toute sa dimension.

D’un coté, avoir le son qui vient exactement du même endroit que l’image, ou plus exactement, le son principal qui vient du point principal de l’image, c’est à dire du centre, c’est un must, car il y a une adhésion totale du spectateur, sans aucun décalage spatial.

D’un autre coté, un écran trans-sonore fait perdre du niveau,à certaines fréquences. Disons qu’on perd dans les 3 dBvers 10 kHz pour les bonnes toiles (celles qui coûtent les yeux de la tête), et 10 dB pour les pas chères. Alors on remonte cette perte avec… ce qu’on a. Un égaliseur intégréà l’ampli, ou un égaliseur séparé (solution pas très audiophile), ou alors on joue avec la touche réequalisationhéritée de THX. Des fois, le simple fait de remonter un peu le niveau de la centrale permet de tricher assez pour donner l’illusionqu’on n’a pas trop perdu, mais alors on remonte le niveau sur toutes les fréquences, y compris celles qui n’ont pasété affectées par l’écran.

Un écran trans-sonore laisse aussi passer de la lumière. Cela n’est pas neutre et a des implications importantes.

D’abord la zone derrière l’écran doit être totalementnoire, sinon la lumière qui passe fait un halo de lumière derrière l’écran, et provoque une perte de contraste de l’image (comme tous les efforts des constructeurs sont portés vers l’amélioration du contraste, ce serait terrible de le détruire avec un mur blanc derrière l’écran !). Et puis on verrait le contour des enceintes par transparence, et ce n’est pas beau !

Il faut également faire attention à l’enceinte qui est cachée derrière l’écran, il ne faut pas qu’elle soit en bois clair,mais noire aussi. S’il y a des parties métalliques qui peuvent refléter la lumière, il faut les cacher : enlever les logos de marque, peindre les caches, les saladiers, les vis, bref tout ce qui pourrait refléter la lumière vers vous à travers des petits trous de l’écran.

Ensuite, il faut que l’enceinte soit placée pas trop loin, et pas trop près de l’écran. Si elle est trop près, une partie du son va venir cogner sur l’écran et envoyer des ondes parasites vers l’enceinte, qui va venir perturber la qualité du message sonore. Si elle est trop près, et que votre toile n’est pas tendue, le déplacement d’air pendant les gros impacts sonores peut faire bouger votre toile… pas génial non plus ! Donc il faut respecter une distance entre l’écran et le mur. On considère que si l’enceinte est à 15 cm au moins de l’écran, le résultat est acceptable.

Mais ce n’est pas tout ! avez vous pensé à l’évent, il sort par où ? s’il sort par derrière, vous ne pouvez pas coller l’enceinte contre le mur, il faut la dégager d’au moins 40 cm. Faites votre calcul : 40 cm pour dégager l’enceinte du mur, 30 cm pour la profondeur de la centrale, 15 cm pour dégager la centrale de l’écran, on arrive à 85 cm. Votre écran doit se situer à 80 cm du mur. Avez vous le recul ?

Et comme à cette distance du mur la lumière va se refléter aussi au travers de l’écran sur les coté, il faut que les murs adjacents soient noirs aussi.

Mais si l’évent sort par devant, alors je pense qu’il vaut mieux que votre écran soit tendu sur un cadre, sinon celui ci risque de bouger en permanence, sous le mouvement des sorties d’air.

Ensuite, tous ces petits trous qui laissent passer le son laissent aussi passer la lumière. Et cette lumière qui passe et ne se reflètepas vers vous est donc perdue. Cela signifie que de 10 à 30% (toujours selon la qualité de l’écran que vous choisissez) va être perdue, donc que votre image sera 10 à 30% moins lumineuse,ou si vous préférez, que votre projecteur soigneusement choisi pour ses remarquables caractéristiques va perdre 10 à 30% de sa puissance… un choix à faire en connaissance de cause : si votre projecteur est déjà peu lumineux, le résultat risque de perdre du peps.

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Par Tpeltier, il y a

Avis de tempête !

Alerte Météo France pour ce soir sur la région Parisienne :

Situation actuelle et données observées :
La perturbation pluvieuse et très venteuse se trouve actuellement sur le proche-atlantique.

Evolution prévue :
Cette perturbation très venteuse gagnera la région par l’ouest au cours de la nuit prochaine.Les rafales de vent atteindront 100 à 120 km/h dans la nuit, temporairement 130 km/h en seconde partie de nuit, et persisteront , mardi , dans la matinée. Ces vents s’atténueront, mardi, au cours de l’après-midi.

Qualification du phénomène :
Tempête d’une force et d’une ampleur peu commune. 

 

Frown

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Par Tpeltier, il y a

La ventilation silencieuse !

Une bonne isolation acoustique implique presque toujours des problèmes de climatisation. Il faut renouveler l’air et le rafraîchir. Si les solutions de climatisation sont connues, l’équipement d’une salle de cinéma ou d’un auditorium hi-fi présente quelques contraintes d’insonorisation.

Cet fiche pratique regroupe quelques conseils pour concilier une bonne isolation avec une ventilation des lieux. L’exemple utilisé est appliqué à notre plan de salle de cinéma dédié. Elle sera déclinable pour d’autres types de locaux (auditorium). Le flux d’air est ici assuré par une VMC (Ventilation Motorisée Controlée). Elle peut être remplacée par une climatisation réversible.

 

Pour rester dans le cahier des charges de notre salle home-cinéma, nous avons cherché à ne pas avoir d’éléments extérieurs à la pièce. Le système le plus efficace pour isoler acoustiquement tout en permettant un flux d’air consiste à mettre un « silencieux », nous vous proposons de le mettre dans une estrade destinée à sur-élever le 2e rang (fauteuil ou canapé). D’une hauteur de 30 cm (2 marches), elle est construite avec une solide charpente en bois. Le mur en parpaings sera percé pour permettre l’arrivée d’air. Il faudra bien-sûr prévoir 2 perçages car l’air doit ressortir. L’arrivée d’air sera équipée de la ventilation, alors que la sortie d’air sera simplement dotée du silencieux. La ventilation sera placée avant le silencieux pour ne pas entendre son moteur. Un filtre sera placé à l’entrée, avant la VMC et surtout, sur la grille donnant dans la pièce pour éviter de souffler des particules de laine de roche.

 

La vue éclatée ci-dessous montre que le flux d’air doit passer dans plusieurs chicanes réalisées en laine de roche. La grande section de la chicane (70x30cm) permet un ralentissement de l’air, garant d’un bruit de vent réduit au maximum.

Dans le cadre d’une pièce entièrement isolée, la réalisation de ce silencieux peut être réalisée avec les chutes de laine de roche… On peut considérer qu’il est donc très économique.

 

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Par Tpeltier, il y a

Ca va déménager !

Mon cousin préféré me propose une superbe affaire sur un Pack Klipsch RF 62 !

Rappel sur les Klipsch:

  • « Parmi les audiophiles, il y a ceux qui connaissent le son du concert, et ceux qui aiment le son policé de leur chaîne haute-fidélité. Les premiers savent combien un véritable instrument de musique – un violoncelle ou des percussions – peut être vif et dynamique. Les seconds sont surpris par l’impact de l’instrument en direct. Paul Klipsch a toujours recherché l’émotion du concert en direct, et ses enceintes ont été conçues pour restituer le niveau réel des instruments dans votre intérieur.
  • Pour parvenir à ce Graal, le niveau sonore à atteindre étant très élevé, il faut une capacité acoustique énorme. Si les amateurs de hi-fi « sage » parlent alors de sonorisation, il n’en est rien. On parle en effet de sonorisation lorsque l’on veut diffuser un signal dans une salle, de concerts ou de cinéma, bien remplie. Klipsch fabrique des enceintes de sonorisation pour les salles de cinéma ou de concerts (avec une réputation enviable de haute-fidélité.)
    La gamme haute-fidélité de Klipsch vise simplement à restituer toute la dynamique d’un quatuor à corde comme si vous y étiez : 110dB dans les fortes (ƒƒƒ). Elle sait en effet restituer la puissance et la dynamique d’un orchestre symphonique à tel point que l’on se croirait aux premiers rangs des meilleures salles de concerts.

    Ecouter à fort niveau peut être très fatigant. En effet, votre cerveau perçoit cette distorsion, et vous commande de baisser le son. Avec les Klipsch, et grâce à l’emploi de pavillons tractrix, cette distorsion est bien plus faible que sur la plupart des enceintes classiques et ce, même à fort niveau. Il en résulte une émotion intense, sans fatigue ni lassitude. »

  • C’est peut être un peu surdimmensionné ( encore que … ) mais faudra juste soigner l’accoustique de la salle Wink

     

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    Par Tpeltier, il y a

    Checklist pour acheter une voiture d'occasion

    La voiture a-t-elle été bien conduite ? :

    Il est toujours intéressant de connaître le style de conduite du propriétaire de la voiture, car les massacreurs de mécanique, ça existe, donc, n’hésitez pas à demander au propriétaire de conduire la voiture sur quelques kilomètres.
        Malgré tous ses efforts, un mauvais conducteur laissera apparaître ses carences, vous saurez tout de suite si l’embrayage a connu les joies du patinage, si les changements de vitesses ont été faits avec ou sans brutalité et si le moteur a été utilisé à bon escient.
        Méfiez-vous également de ceux qui ne respectent pas une mécanique froide, car il faut savoir qu’une mécanique maltraitée voit son espérance de vie réduite.
        Également ce petit galop d’essai en tant que passager vous permettra de vous concentrer sur l’écoute des divers bruits du véhicule, écoute parfois très révélatrice. Terminons ce paragraphe en rappelant qu’une voiture première main même avec beaucoup de kilomètres, bénéficie d’un préjugé favorable.

    Méfiez-vous des voitures mal entretenues :

    Le style de conduite est une chose, mais l’entretien est tout aussi important.
        Demandez donc à voir les diverses factures de révisions et de réparations, cela vous donnera une petite idée des pièces qui ont été remplacées et du suivi plus ou moins régulier de la voiture.
        Si le propriétaire a fait lui-même l’entretien de sa voiture, il est évident qu’il ne pourra pas vous fournir les factures correspondantes, dans ce cas interrogez-le sur la fréquence des vidanges, la marque de l’huile utilisée, demandez-lui si les liquides de freins et de refroidissement ont été remplacés ? Vous pouvez d’ailleurs observer la couleur de ces liquides ; si leur transparence et leur couleur sont plus que douteuses, il y a fort à parier qu’ils sont d’origine, ce n’est pas dramatique, mais cela vous permettra de savoir si votre interlocuteur vous raconte des histoires.

    Sachez reconnaître un moteur fatigué :

    Qu’un moteur ayant déjà plus de 100 000 km dans les bielles ne soit pas aussi fringant qu’à 10 000 km, rien d’anormal à condition qu’il ne soit pas au bord de l’agonie ; si l’échappement crache de la fumée bleue, c’est signe d’une usure avancée de la segmentation, donc d’un moteur à la consommation d’huile ; en revanche, s’il fume blanc même bien chaud, jetez un coup d’œil à la jauge à huile, la présence de « mayonnaise » indique un joint de culasse claqué laissant passer de l’eau dans l’huile.
        Lors de l’essai de la voiture dans la mesure du possible, faites lui grimper une côte assez raide, c’est dans ces conditions qu’un moteur fatigué avoue ses limites, au passage si la voiture en est munie observez le thermomètre de température d’eau, si elle augmente de façon excessive dès qu’on demande un effort au moteur, craignez un problème de refroidissement, pompe à eau usée, radiateur bouché donc des frais à prévoir.

    Les cardans ont-ils du jeu :

    Des cardans usés vont se manifester par des claquements au démarrage ou lorsqu’on relâche la pédale d’accélérateur, et s’ils craquent en démarrant roues braquées à fond, dites-vous qu’ils n’en ont plus pour très longtemps.
        Autre point à examiner sur les cardans, l’état des soufflet et des caoutchoucs de protections.

    Attention aux kilomètres cachés :

    Si l’occasion que vous convoitez n’a qu’un compteur à cinq chiffres, comment savoir si celui-ci n’a pas déjà fait le tour complet.
        Commencez par vous renseigner sur le type d’utilisation de la voiture, est-elle utilisée pour aller au travail et combien de kilomètres par jour, quelle est la profession du vendeur, sauf si votre interlocuteur sait bien mentir, vous aurez ainsi une petite idée du kilométrage réel de la voiture.
        Ensuite examinez attentivement l’état des caoutchoucs des pédales, ainsi que l’enfoncement du siège conducteur, trop usé ou un siège trop avachi trahissent un kilométrage important, mais trop neuf ils sentent l’arnaque.

    Les vitesses ne doivent pas craquer :

    Lorsque la voiture a fait beaucoup de ville, il n’est pas rare que le passage de la seconde voire de la troisième s’accompagne de craquements : ceux-ci ne se manifestent que lorsqu’on passe les vitesses à la volée, ce n’est pas trop grave, sinon les synchros de boîte sont vraiment très usés et le mal ira en empirant,dans ce cas n’achetez pas.

    Attention au jeu dans la direction :

    Remuez le volant doucement tout en observant les roues,si celles-ci réagissent avec un certain décalage, cela traduit du jeu à la direction.

    Faites pomper les amortisseurs :

    Des amortisseurs en bon état doivent permettre aux roues de coller à la route : emmenez la voiture sur une route bosselée ; vous êtes obligé de vous battre avec le volant pour maintenir la voiture en ligne droite et si celle-ci a un comportement du type « chameau » vous pouvez prévoir le remplacement des amortisseurs.
        Quant au test consistant à appuyer fortement sur l’aile pour voir si la voiture se balance de façon répétée indiquant des amortisseurs fatigués, il n’est valable que s’ils sont vraiment à bout de souffle.

    Attention aux dessous douteux :

    Même si la carrosserie est superbe, n’hésitez pas à vous allonger pour jeter un coup d’œil sous les dessous de la voiture. Examinez les longerons et le plancher, continuez votre inspection en contrôlant l’absence de fuite et n’oubliez pas le pot d’échappement, parfois rendu silencieux à coup d’emplâtre et autres produits.

    Testez l’embrayage :

    La méthode classique du test de l’embrayage consiste à mettre le frein à main et à essayer de démarrer en troisième : si l’embrayage est bon la voiture doit caler, mais il n’est pas évident que le propriétaire apprécie ce test, vous pouvez vous contenter d’essayer la voiture dans une côte très raide en accélérant à fond en seconde à 30km/h, si l’embrayage est fatigué il patinera, par la même occasion, vous pourrez juger de la faculté du moteur à reprendre en côte, s’il se met à cliqueter sous ce gros effort, l’allumage est a revoir.

    Pas de pitié pour les freins :

    Le freinage ne doit souffrir d’aucun défaut : à l’arrêt, appuyez longuement sur la pédale, si peu à peu, vous lasentez s’enfoncer sous votre pied, inquiétez-vous du maître-cylindre, faites impérativement un essai routier sur une portion de route bien droite et parfaitement dégagée, freinez fortement
    à la limite du blocage, non seulement la voiture doit freiner bien en ligne, mais elle ne doit pas avoir de réaction dangereuse comme par exemple le blocage inopiné des roues arrières, si la voiture broute au freinage, vous êtes sûrement en face de disques voilés, donc bon à remplacer.

    Les pneus parlent :

    L’examen des pneus est très révélateur, une usure irrégulière doit attirer votre attention, elle provient souvent d’un train avant mal réglé, ou d’amortisseurs fatigués ; si le train avant est franchement déréglé, vous vous en apercevrez en essayant la voiture ; dès que vous lâcherez le volant elle aura tendance à partir d’un côté.
        Autre détail révélateur le volant mal aligné,si les pneus sont usés mais de façon régulière, vous aurez donc à prévoir leur remplacement, c’est un argument pour faire baisser le prix.

    Attention à la rouille cachée :

    Méfiez-vous d’une voiture fraîchement repeinte, sa robe risque de s’étioler au bout de quelques mois, laissant apparaître la rouille qu’on a voulu cacher.
        Pour savoir si la caisse n’a pas été réparée à la résine synthétique, promenez un aimant le long des endroits qui vous semblent trop beaux pour être vrais, bas de caisse, bas de porte, etc… Là o% il y a de la résine l’aimant ne sera pas attiré, soulevez les tapis de sol et de coffre, la visite est parfois surprenante.

    Les traces révélatrices d’accidents non réparés :

    Une voiture belle extérieurement peut cacher de défauts très graves tels qu’une caisse vrillée ou longerons pliés ou mal détordus, observez le centrage des portières, du capot, hayon, des jours irréguliers entre ces pièces et la caisse peuvent signifier que cette dernière est tordue.
        Regardez les entourages de portières ; les zones pliées où la peinture s’est écaillée sont suspectes, de même avec les tôles du compartiment moteur des pliures sont mauvais signe.

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    Par Tpeltier, il y a